Au sujet de la recherche sur le handicap mental
« Ce qui compte, c’est de pouvoir rendre à ces personnes leur indépendance intellectuelle, leur redonner leur autonomie, mais pas à n’importe quel prix.
Nos conditions éthique sont très simples. Nous ne finançons pas les recherches utilisant l’embryon, ni les recherche sur le dépistage, destinées à interrompre la grossesse.
En revanche, nous pourrions soutenir une recherche qui améliorerait le diagnostic prénatal, si elle permettait de mieux connaître une pathologie et de prendre en charge le bébé à la naissance. »
Témoignage du professeur Henri Bléhaut, directeur de recherche à l’Institut Jérôme Lejeune (publié dans Paris Notre-Dame n°1211, 15 novembre 2007).