Le Figaro – 27 octobre 2020
« Si Dieu n’existe plus pour nous, si l’espérance de l’éternité a déserté nos consciences, alors il nous reste la vie terrestre, qui se rétrécit peu à peu, comme une peau de chagrin, à notre capacité de jouissance. La santé, qui est un bien précieux, devient alors le bien suprême qui légitime tous les sacrifices. ».