Enseignement catholique : Prêtre à l’école : une gageure missionnaire
Paris Notre-Dame du 25 janvier 2018
Bioéthique : Le corps, objet de consommation ? • Solidarité : Ces chrétiens qui innovent • Cinéma : De la capacité d’aimer
Décryptage : Le corps, objet de consommation comme un autre ?
Procréation médicalement assistée (PMA), gestation pour autrui (GPA), intelligence artificielle, etc. Ces sujets de société sont au cœur des États généraux de la bioéthique, qui viennent de s’ouvrir en France. Que faut-il en penser ? L’analyse du P. Brice de Malherbe, co-directeur du département éthique biomédicale, au pôle de recherche du Collège des Bernardins.
La semaine de l’archevêque : Assouplissons notre cœur !
Extraits de l’homélie de Mgr Michel Aupetit, le samedi 20 janvier 2018, en l’église St-Pierre du Gros-Caillou (7e), avec les diacres d’Île-de-France.
Enquête : Prêtre à l’école : une gageure missionnaire
Manque de moyens humains, public divers, professeurs et parents loin de l’Église, course aux bons résultats… L’Enseignement catholique, à Paris, est confronté aujourd’hui à une réalité complexe. Comment, dans ce contexte, le prêtre peut-il remplir son rôle et continuer à annoncer l’Évangile ? Enquête.
Enquête : En colocation « pour le Royaume »
Publié à la fin de l’année 2017 par la Conférence des évêques de France, le rapport annuel Église en périphérie relève le développement, ces dix dernières années, des colocations solidaires, entre personnes fragiles et jeunes professionnels chrétiens. Petit tour d’horizon parisien de ces formes de vie communautaire et néanmoins laïque.
Actualité : Pour vous, c’est quoi le denier ?
À Paris, le denier de l’Église, dont la campagne s’ouvre chaque année le premier week-end de février, couvre en moyenne 40 % des charges de fonctionnement d’une paroisse. Si le montant moyen des dons augmente, le nombre de donateurs baisse. Trois acteurs du diocèse nous parlent du sens de ce don.
Critique : De la capacité d’aimer
Présenté lors de la quinzaine des réalisateurs au dernier Festival de Cannes, le fi lm du réalisateur italien Roberto de Paolis raconte l’histoire d’Agnese et de Stefano, deux jeunes que tout oppose. Pour le P. Denis Dupont-Fauville, ce film est une méditation sur la capacité d’aimer malgré tout.