Dossier : Marie : De l’Orient à l’Occident

Paris Notre-Dame du 20 mai 2021

Festival de la vie : Pour une nouvelle culture de la vie humaine • Pentecôte : Le souffle des nouveaux baptisés

Décryptage : Pour une nouvelle culture de la vie humaine
À l’ occasion des vingt-cinq ans de l’encyclique Evangelium Vitae sur la valeur incomparable de la personne humaine, le diocèse de Paris organise le 5 juin, au Collège des Bernardins, un Festival de la vie sur une matinée. Les explications de son organisateur, le P. Brice de Malherbe.

À méditer : Une joie contagieuse
Extrait de l’homélie de Mgr Michel Aupetit, à St-Germain-l’Auxerrois (1er), le dimanche 16 mai 2021.

Actualité : Le souffle des nouveaux baptisés
Tous les ans, à Paris, près de quatre cents adultes demandent le baptême. Et si leur conversion et leur témoignage étaient un cadeau pour l’Église ? Comme une manifestation du souffle de l’Esprit Saint pour renouveler son peuple ? À l’occasion de la Pentecôte, Paris Notre-Dame leur donne la parole.

Société : Un mémorial pour les victimes de la Covid-19
L’église St-Sulpice, en plein cœur de Paris, accueille depuis deux semaines le premier mémorial dédié aux victimes de la Covid-19, alors que le seuil des 100 000 morts a été franchi le 15 avril dernier. Une initiative menée par la paroisse et le collectif Tenir ta main afin d’honorer ces défunts.

Reportage : Au Sénégal, une chapelle pour se rapprocher des fidèles
Grâce au soutien des fidèles du diocèse de Paris, la paroisse cathédrale de Kaolack, au cœur du Sénégal, a reconstruit en 2012 la chapelle de Koundam et fait vivre l’Évangile au sein des quartiers.

Reportage : Exil en Érythrée, le temps d’une messe
Le dimanche 9 mai s’est déroulée une messe de la communauté éthio-érythréenne d’Île-de-France, accueillie à N.-D.-du-Rosaire. Les fidèles célébraient un baptême en ce deuxième dimanche de Pâques, selon la liturgie traditionnelle d’Érythrée et d’Éthiopie, le rite guèze.

Dossier : Marie : De l’Orient à l’Occident

Mois de mai, mois de Marie. Du moins dans l’Église catholique de rite latin, selon une dévotion remontant au Moyen Âge occidental, encouragée par le pape Pie VII en 1815. Si le rite byzantin, qu’il soit catholique ou orthodoxe, ne porte pas spécifiquement cette tradition mariale dans son calendrier, il n’en célèbre pas moins la Vierge Marie à travers une liturgie riche, remontant aux premiers siècles du christianisme. Quelles sont les sources de la dévotion mariale, partagée par les deux rites, latin et byzantin, et ancrées dans ces différentes cultures ?

« Marie, nouvelle Ève, donne à Dieu la réponse qu’il attend de l’humanité »
Elle est la figure biblique la plus vénérée par les chrétiens après le Christ. Depuis les premiers siècles, Marie, mère de Dieu, a pris une importance croissante dans les traditions latine et orientale. Pourquoi la mère de Jésus est-elle si tôt devenue objet de dévotion ? Quelles sont les spécificités propres à chaque tradition ? L’éclairage du P. Charbel Maalouf, archimandrite catholique grec-melkite, docteur en théologie patristique à l’Institut catholique de Paris et de Sophie Binggeli, enseignante en théologie à la Faculté Notre-Dame du Collège des Bernardins et membre de la société française des études mariales.

« Marie est une école de vie divine »
À 35 ans, Laure Bourdin, coach et entrepreneure, est également présidente de L’Alliance mariale, association de jeunes professionnels se retrouvant autour du chapelet. Elle témoigne de la puissance de Marie, qui, selon elle, se rencontre avant tout.

« Marie est médiatrice »
Le P. Élisée, hiéromoine de l’Église grecque-melkite catholique au monastère d’Aubazine (Corrèze), dépeint la dévotion mariale au cœur de la liturgie byzantine, ancrée en Orient.

La Vierge Marie n’apparaît-elle que dans l’Église latine ?
Si les apparitions mariales ont une place importante dans la dévotion latine, c’est moins le cas dans la tradition byzantine qui se réfère davantage à la vénération des icônes. Ou comment Marie se manifeste-t-elle aux hommes selon leur culture.

Marie, chemin vers le Ciel
Dans la tradition byzantine, l’icône est un objet liturgique. Elle permet à celui qui la vénère d’accéder à Dieu. L’iconographie mariale, représentant la mère de Dieu, est une voie royale. Plongée dans l’atelier de la peintre iconographe Marie-Cécile Froment.

Des pistes pour agir : Explorer les langages de Marie
Dès les premiers siècles du christianisme, la Vierge Marie est représentée dans l’iconographie traditionnelle selon un langage particulier et nommée selon ses diverses attributions... Petite exploration.

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