« On voit ici, finalement, l’archevêque posé au centre de la toile (...), et puis, autour de lui, le décor est planté : une fenêtre à droite, une fenêtre à gauche et des reflets qui permettent de voir l’archevêque sous trois angles. (...) Si l’on regarde un peu plus dans le détail, on voit que le spectateur est comme aspiré vers l’archevêque avec la fenêtre entrouverte, on a comme envie de cheminer vers lui. (...) Sur la droite par exemple, nous avons le reflet le plus proche de nous et le plus réaliste. L’archevêque est présenté de trois quarts et la construction de ce “portrait dans le portrait” a été particulièrement délicate. Et derrière lui, le décor qui nous saute aux yeux, bien sûr, c’est Notre-Dame, (...) Notre-Dame sans sa flèche, sans son toit (...). Michel Aupetit sera pour toujours l’archevêque qui a vu Notre-Dame brûler et participé à sa reconstruction. »
– Regarder la vidéo de présentation du père Simon de Violet, auteur du portrait.