Synodalité : Tous appelés à cheminer ensemble
Paris Notre-Dame du 21 octobre 2021
Solidarité : Ces paroisses qui se mobilisent pour l’emploi • Portrait : P. Julien Durodié, curé de St-Eugène – Ste-Cécile • Célibat : Une initiative qui matche
Décryptage : Ouverture du synode : une Église en chemin
Dimanche 17 octobre, Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, a envoyé l’équipe diocésaine du synode en mission, ouvrant de manière officielle la première phase de ce synode sur la vie de l’Église, voulu par le pape François. Le P. Christophe Alizard et Marie-Thècle Tranchant, membres de l’équipe, confient leur espérance que chaque baptisé puisse se mettre en chemin pour une Église synodale, de l’écoute et de proximité.
À méditer : De l’ambition à la mission
Extrait de l’homélie de Mgr Michel Aupetit, à St-Germain-l’Auxerrois (1er), le dimanche 17 octobre 2021.
Reportage : Ces paroisses qui se mobilisent pour l’emploi
Alors que la pandémie de Covid-19 bouscule le marché de l’emploi, la paroisse St-François-de-Sales souhaite encourager les personnes au chômage grâce à sa journée trimestrielle dédiée à la recherche d’emploi. Au programme : ateliers, échanges, conseils et prière, le tout dans une atmosphère conviviale. Car l’essentiel est de ne pas rester seul.
Portrait : P. Julien Durodié : Contemplatif, « les pieds sur terre »
Il est le nouveau curé de St-Eugène – Ste-Cécile, l’une des cinq églises parisiennes où est célébrée la messe selon le missel romain de saint Jean XXIII (1962)*. Le P. Julien Durodié, 52 ans, témoigne d’un parcours original, empreint de sensibilité bénédictine et d’ancrage à la capitale, sa ville natale.
Des « Jeudis Match ! » pour les personnes célibataires
Jeudi 14 octobre dernier, la chapelle N.-D. du Saint-Sacrement (16e) a lancé sa nouvelle initiative : des afterworks pour des personnes traversant l’épreuve du célibat qui dure. L’idée est de les soutenir tout en créant un environnement de confiance favorable à la rencontre.
Critique : Un Portugal à l’italienne
Fatima, de Marco Pontecorvo, est en salle depuis le 6 octobre. Le film retrace avec une certaine fidélité les apparitions de la Vierge aux trois petits bergers portugais, mais les beaux paysages et la candeur des enfants ne suffisent pas à masquer le manque de rythme d’un scénario qui traîne en longueur et d’une mise en scène trop artificielle.
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