Budget participatif de Paris

Plus de 20 églises du diocèse de Paris sont concernées par des projets sélectionnés dans le cadre du budget participatif de la ville de Paris. Découvrez-les et soutenez-les en votant avant le 26 septembre 2023.

La ville de Paris a ouvert la période de vote sur les projets proposés au budget participatif.

Soutenez les projets de travaux dans plus de 20 églises de Paris en votant du 7 au 26 septembre 2023 au budget participatif de la ville de Paris.

Saint-Leu-Saint-Gilles (1er)

Restauration de l’église Saint-Gilles - Saint-Leu
Le projet consiste à restaurer la façade de l’église Saint-Leu - Saint-Gilles qui est en mauvais état.
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Sauvons les chapelles Baltard de l’église Saint-Leu - Saint-Gilles
Le projet vise à restaurer les chapelles de la Vierge, du Sacré-Cœur et du Chœur de l’église Saint-Leu - Saint-Gilles. Plusieurs des chapelles Baltard de l’église Saint-Leu - Saint-Gilles présentent effectivement un état de dégradation avancé, en raison des nombreux dégâts des eaux que l’église a subi au cours du temps. Le projet se propose de contribuer à assurer dans une première phase l’étanchéité du toit de la chapelle de la Vierge ainsi que la restauration des peintures qui ornent la chapelle du Sacré-Cœur, (dite "des morts de la rue"), chapelle dont l’étanchéité a été refaite mais dont les peintures risquent de disparaître sous le salpêtre – et dans une 2e phase, la restauration des peintures de la "délaissée" chapelle du chœur. Un beau projet, au cœur de Paris, pour cet édifice, témoin du grand architecte Baltard, dont nous fêterons l’année prochaine le 150e anniversaire.
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Saint-Eustache (1er)

Restaurer les chapelles de l’église Saint-Eustache
Le projet vise la restauration des chapelles Saint-Louis, des Catéchismes et des Charcutiers de l’église Saint-Eustache (1er arr.). Après l’incendie de 1844, et sous l’égide de Victor Baltard, toutes les chapelles furent décorées de nouvelles peintures murales. Celles de la chapelle des Catéchismes sont d’Émile Signol, artiste qui a également peint le transept de Saint-Eustache. Construit au XVIIIe siècle, l’escalier de cette chapelle à double rampe est magnifique, tout comme la grille de clôture richement sculptée. La restauration de cet ensemble extrêmement encrassé permettrait de compléter la restauration des chapelles du flanc sud de l’église. La restauration des peintures de la chapelle des Catéchismes rétablirait sa résonance avec le maître-autel de la chapelle de la Vierge, aussi dessiné par Baltard. La chapelle Saint-Louis rappelle que Saint-Eustache fut une paroisse royale. Son décor est une création originale du XIXe siècle. Avec son imposant vitrail, présenté en 1889 à l’Exposition universelle, Charles Champigneulle représente l’éducation de Saint-Louis. Réalisé comme un tableau, le vitrail avec sa multitude de détails historiques rend la représentation extrêmement attachante. Composées par Félix-Joseph Barrias, les deux peintures murales, toujours sur le thème de la vie de Saint-Louis, représentent l’arrivée de la couronne d’épines à Paris et la mort du roi. Le vitrail est très encrassé, sa structure métallique dégradée. Les peintures murales sont devenues illisibles. La chapelle des charcutiers : une véritable institution. Depuis 1809, en novembre, Le souvenir de la charcuterie français vient y faire mémoire de ses défunts. Saint-Eustache reste l’église des Halles. Après l’incendie de la chapelle (1989), seuls subsistent les peintures d’Isodore Pils (XIXe) et le vitrail. Inaugurée en 2000, la restauration de John Armleder comprend un autel, une urne en verre, des panneaux latéraux reprenant les couleurs de Pils, un sol (écho au dallage du déambulatoire) et la projection sur le mur d’une croix lumineuse. La restauration s’impose : les éclairages actuels et les panneaux latéraux sont en très mauvais état. L’enjeu est mémoriel. Avec le départ des Halles (R. Mason), la chapelle est le dernier témoignage de l’activité du « ventre de Paris » (Zola). Œuvre contemporaine, la chapelle cohabite avec des œuvres du XIVe jusqu’au XXIe siècle.
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Rénover les supports luminaires de l’intérieur de l’église St-Eustache
Le projet consiste à restituer tout leur éclat aux lustres, luminaires et candélabres de Saint-Eustache. Ce sont près de 86 luminaires qui ont été installés dans toute l’église au cours du XIXe siècle, auxquels s’ajoutent 78 appliques scandant les piliers de l’église. Les candélabres sont faits d’une magnifique ciselure de bronze, tous ornés d’une tête de cerf symbole de Saint-Eustache.
La restauration de cet ensemble encrassé et terni mettrait en avant sa qualité esthétique et patrimoniale, et illuminerait avec plus de force l’édifice et ses chefs-d’œuvre. L’enjeu est également mémoriel, les luminaires de Saint-Eustache rappellent l’importance de l’action de Victor Baltard, également auteur des autels du chœur et de la chapelle de la Vierge, de la chaire, du buffet du grand orgue et des célèbres Halles voisines, aujourd’hui détruites. Enfin, ce projet intégrerait la requalification de l’aménagement intérieur de l’église. La réalisation des nouveaux bancs conçus par Constance Guisset en est une des premières étapes.
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Saint-Nicolas des Champs (3e)

Restaurer les vitraux et boiseries de l’église St-Nicolas-des-Champs
L’église Saint-Nicolas-des-Champs est un chef-d’œuvre du gothique flamboyant. Elle conserve par ailleurs des œuvres remarquables parmi lesquelles un portail Renaissance récemment restauré dans le cadre du chantier de restauration de la façade côté rue Cunin-Gridaine. Il convient maintenant de restaurer la façade sur la rue Saint-Martin, très endommagée, en commençant par l’ensemble des vitraux de cette façade, déformés, qui souffrent de multiples casses. Par ailleurs, à l’intérieur de l’édifice, des boiseries datant du XIXe siècle ont souffert de l’attaque de termites. Si le bâtiment a été traité, les boiseries n’ont pas été restaurées : de gros trous défigurent ces éléments dans plusieurs chapelles. Il faudrait débuter par celles de la chapelle Sainte-Rita située à l’entrée de l’église. Dans les deux cas, il faudrait pouvoir intervenir pour redonner son lustre à ce monument historique, véritable chef-d’œuvre d’architecture gothique et pour redonner vie à ses chapelles et à leur décor.
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Notre-Dame des Blancs-Manteaux (4e)

Restauration de la façade de l’église Notre-Dame des Blancs Manteaux
Le projet propose de rénover la façade de l’église Notre-Dame des Blancs Manteaux située dans le quartier du Marais construite à la fin du XVIIe siècle. L’église a besoin d’un coup de neuf !
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Saint-Merry (4e)

Restaurer les décors de Saint-Merry
Le projet consiste à rénover les chapelles de l’église Saint-Merry.
Saint-Merry est une des célèbres églises du cœur de Paris, de style gothique flamboyant, agrandie et enrichie au XVIIIe siècle et décorée au XIXe siècle de peintures murales dans ses chapelles.
L’ensemble est classé aux Monuments Historiques. Les décors de plusieurs chapelles nécessitent aujourd’hui des restaurations urgentes, en particulier la chapelle Saint-Jacques dont les grandes toiles peintes se couvrent de champignons, la chapelle Sainte-Marie-l’Egyptienne dont les peintures de Chassériau cloquent, ainsi que la chapelle Saint-François-Xavier dont les murs sont si noirs qu’on ne voit plus les scènes peintes. Il est donc urgent de lancer ces restaurations.
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Saint-Étienne du Mont, Saint-Séverin et Saint-Médard (5e)

Restaurer le patrimoine du 5ème arrondissement
Le 5ème arrondissement est l’un des plus riches en patrimoine de tout Paris. Ses églises abritent d’extraordinaires œuvres d’art et ce patrimoine nécessite des campagnes de restaurations régulières. Ces trésors font l’attractivité de notre arrondissement, qui sera en 2024 très exposé, aux yeux du monde entier. Sur le long terme, les habitants bénéficieront d’un cadre de vie plus agréable.
Nous proposons donc la restauration :
 Du vitrail à l’église Saint-Etienne-du-Mont
 D’une chapelle à l’église Saint-Séverin
 D’un tableau de Charles Michel Ange Challe "La religion invitant à ses saints mystères" à l’église
Saint-Médard
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Saint-Sulpice (6e)

Restaurer deux chapelles de l’église Saint-Sulpice
Il s’agirait de procéder à la restauration de la chapelle Saint Vincent de Paul et d’amorcer la restauration de la chapelle Sainte Geneviève de l’église Saint-Sulpice, sous réserve de financements complémentaires. Ce projet s’inscrit dans une volonté plus large de restauration des chapelles de l’église entreprise depuis une dizaine d’années par la Mairie de Paris. Après la restauration des chapelles de la partie sud de l’église, peintes par Eugène Delacroix, François-Joseph Heim ou encore Abel de Pujol, la partie nord de l’édifice contraste par son obscurité et les dégâts d’infiltrations anciennes qui ont dégradé les vitraux et les peintures. Par sa vocation à la fois patrimoniale et de recueillement, l’église Saint-Sulpice étant l’un des monuments les plus visités de la Capitale. La Chapelle Saint-Paul est consacrée désormais aux personnes ayant perdu un proche pendant la pandémie du Covid-19.
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Sainte-Clotilde (7e)

Restaurer une fresque de la chapelle de Sainte Clotilde
Ce projet vise à restaurer une des trois fresques de la basilique Sainte Clotilde. Il s’agit de celle de la chapelle Sainte-Valère peinte par Jules-Eugène Lenepveu. Cet artiste est exposé au musée d’Orsay et est particulièrement connu pour avoir décoré le plafond originel de l’Opéra Garnier.
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Saint-François-Xavier (7e)

Accessibilité, rénovation et sécurisation Eglise Saint François-Xavier
Plus de 3000 paroissiens, fréquentent l’Eglise Saint François-Xavier le week-end. En semaine, de nombreux touristes viennent découvrir l’édifice et son patrimoine culturel avec notamment la chasse de Sainte Madeleine-Sophie Barat et un chef d’œuvre du Tintoret, La Cène. Il y a plus de 15 ans, pour assurer la sécurité extérieure et éviter la chute de pierres, des filets ont été posés temporairement. Les chenaux en plomb de la façade jusqu’à la nef sont très usés et n’assurent plus leur rôle d’étanchéité. L’eau de pluie s’infiltre et abîme encore plus les pierres. Pour assurer la sécurité extérieure mais aussi protéger le patrimoine intérieur il est grand temps de réparer l’ensemble des chenaux et des pierres sur cette partie de l’édifice. La rampe d’accès pour les personnes handicapées est elle aussi à remplacer.
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Saint-Augustin (8e)

Restaurer le dôme de l’église Saint-Augustin
Le dôme intérieur de l’église Saint-Augustin est sous filet depuis 2007. La structure intérieure a beaucoup souffert et en séchant, des éléments de décor menacent de se détacher. Suite à un important dégât des eaux en 1999, plusieurs peintures ont été gravement endommagées. La coupole hémisphérique culmine à 50 mètres du sol avec un diamètre de 25 mètres. Le dôme extérieur a fait l’objet d’une restauration en 1992. Le projet prévoit la restauration du dôme intérieur. Les toiles peintes par Jean Louis Bézard (peintre religieux né à Toulouse en 1799 et mort à Paris en 1881, reçut le grand Prix de Rome en 1829), représentant les personnages de l’Ancien et du Nouveau Testament mais recouvertes de bâches depuis 2003 pour les protéger, seront remises en valeur.
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Contribuer à la rénovation de la façade ouest de Saint Augustin
Afin de redonner tout son éclat à l’église Saint Augustin, il est important de restaurer en urgence la façade ouest côté Malesherbes qui est très endommagée par le temps. Cette église, construite entre 1860 et 1875 par Victor Baltard, doit à présent être restaurée progressivement dans son intégralité. La restauration de la façade permettra également de remplacer les vitraux abîmés et de restaurer les chapelles et les statues. La rénovation intégrale du transept ouest nécessite 12 millions d’euros. Aussi, ce projet vise à accélérer sa programmation en apportant un financement complémentaire aux crédits mobilisés par la Ville de Paris et la campagne de mécénat. Il permettra de lancer dans un premier temps des études préalables à tout chantier de restauration.
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Notre-Dame de Lorette (9e)

Restaurer les peintures de l’artiste Picot de l’Église N. D. de Lorette
Très endommagées, les peintures de l’artiste François-Edouard Picot situées dans la voûte aussi appelée "cul-de-four" de l’Eglise Notre-Dame de Lorette doivent être restaurées.
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Saint-Laurent (10e)

Restaurer la chapelle Notre-Dame des Malades de l’église Saint-Laurent
Ce projet vise à restaurer la chapelle Notre-Dame des Malades de l’église Saint-Laurent. Les travaux englobent la restauration des toiles, la remise en peinture de l’ensemble de la chapelle, la restauration des vitraux et l’autel de la Vierge avec sa statue. Joyau de l’église Saint-Laurent, la chapelle Notre-Dame des Malades, dite également chapelle de la Vierge, a été construite en 1710 dans le prolongement du chœur de l’ancienne église. Elle est, avec les chapelles de la Vierge édifiées à l’église Saint-Roch et à l’église Saint-Sulpice dans la première moitié du 18e siècle, l’un des grands sanctuaires du Siècle des Lumières dédiés à la Vierge Marie. Elle a été ornée en 1730 de peintures murales par Antoine-Denis Postel. L’état général de ce patrimoine est aujourd’hui en état de dégradation avancée. Les peintures de la coupole sont très encrassées, lacunaires et les murs de la chapelle écaillés. Une réhabilitation de ce cet ensemble unique, témoin de l’essor architectural et décoratif que connurent les églises parisiennes de cette époque. Ce projet a été déposé par la paroisse Saint-Laurent et est estimé à 650 000€.
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Sainte-Marguerite (11e)

Un patrimoine restauré dans le 11e
Fort de son histoire, le 11e arrondissement bénéficie d’une richesse patrimoniale importante qu’il importe de mettre en valeur. Ce projet consiste à restaurer et à valoriser des éléments patrimoniaux du 11e. Il s’agira notamment :
 De revaloriser la sculpture “Allégorie de la Liberté”, aujourd’hui entreposée dans un atelier de la Ville, en la rénovant et en l’installant dans un espace vert de l’arrondissement ;
 De restaurer des œuvres d’arts de l’église Sainte-Marguerite qui fête ses 400 ans.
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Immaculée Conception (12e)

Restauration de la facade de l’église de la rue du Rendez-vous
Ce projet a pour objectif la restauration de la façade et du clocher de l’église de la rue du Rendez-vous.
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Rénovons le patrimoine du 12e
L’objectif du projet est d’embellir et valoriser des éléments patrimoniaux du 12e. Ce projet inclut la rénovation de l’orgue de l’église de l’Immaculée Conception, le réaménagement de la fontaine de la place du colonel Bourgoin et la remise en état des statues des enfants du monde situées dans le Parc de Bercy.
 Restauration de l’orgue de L’Immaculée Conception pour lui redonner son éclat : Cet orgue est à l’origine une construction des frères Eugène et John Abbey en 1881. Il a besoin d’une restauration afin de maintenir son bon fonctionnement.
 Fontaine place du colonel Bourgoin : Embellir la fontaine en installant un éclairage à basse consommation d’énergie pour permettre sa mise en valeur.
 Remise en état des statues « Les enfants du Monde » : Ce projet concerne les statues "Les Enfants du Monde" installées depuis 2001 dans le parc de Bercy, œuvre du sculpteur français Rachid Khimoun. Il s’agit d’entretenir les statues, de réaliser des plaques explicatives et de réaménager leurs fondations.
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Saint Esprit (12e)

Rénovons les bâtiments pour s’adapter au changement climatique
Ce projet a pour objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique pour adapter le café de la Commune libre d’Aligre et le collège Jean-François Oeben au changement climatique.
Il vise également à permettre la réalisation d’économies d’énergies en remplaçant les luminaires existants de l’église du Saint-Esprit par des Leds.
 Un collège mieux adapté aux changements climatiques : travaux de confort thermique pour l’été au collège Oeben : La rénovation thermique de cet établissement doit permettre, au-delà des économies d’énergie et de chauffage, d’assurer des conditions d’apprentissage et d’enseignement acceptables pour les élèves et les équipes en période de fortes chaleurs. Ces travaux de « confort estival » passent notamment par la mise en place de brises-vues sur la façade du bâtiment administratif et de stores sur la façade des salles de classe.
 Modernisation du café de la Commune libre d’Aligre : Remplacement des menuiseries par du double vitrage, modernisation du chauffage, aménagements intérieurs (peintures, ventilations) et ravalement de façade.
 Des ampoules LEDS pour l’église du Saint-Esprit : Le projet consiste à remplacer l’éclairage existant par un éclairage LED conforme aux exigences environnementales actuelles et permettant une division de la consommation d’électricité par sept environ.
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Notre-Dame de la Gare (13e)

Redonnons ses couleurs au plafond de l’église Notre-Dame de la Gare
L’église Notre-Dame de la Gare située place Jeanne d’Arc, a été construite, dans un style néo-roman, entre 1855 et 1864. Ce projet vise à la restauration des peintures de la voûte du chœur peinte par Félix Jobbe-Duval (illustrateur français) et la restauration des peintures situées dans la partie basse du chœur par Anders Osterlind (peintre français). Ce projet de restauration est la suite de la réhabilitation de la façade menée en 2021 et 2022. Ce projet est soutenu par le Conseil de quartier 7 - Masséna-Jeanne d’Arc.
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Notre-Dame du Travail (14e)

Sauver l’orgue de Notre Dame du Travail et son acoustique exceptionnelle
Le projet consiste en la restauration de l’orgue de Notre-Dame-du-Travail dans un souci de préservation du patrimoine, et pour permettre aux visiteurs amateurs de musique ou simple promeneurs de passage d’accéder à l’écoute du patrimoine musical lors des offices ou des nombreux concerts organisés dans ce lieu dont la taille et l’acoustique sont exceptionnels. Aujourd’hui, du fait de ces dysfonctionnements et du manque de fiabilité de l’instrument, aucun concert d’orgue ne peut être organisé dans l’église Notre-Dame-du-Travail. Cette restauration permettra le rayonnement culturel de cet instrument dans un lieu à l’acoustique exceptionnelle, au sein d’un quartier populaire.
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Saint-Pierre de Chaillot (16e)

Ravaler la façade de Saint-Pierre de Chaillot
Le projet consiste à ravaler la façade de Saint-Pierre de Chaillot qui est noire et sale. L’objectif est d’assurer une cohérence artistique et architecturale après la restauration du tympan et de préserver le patrimoine de la Ville de Paris qui sera mis à l’honneur lors des prochains Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024.
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Saint-Michel (17e)

Restauration du chœur de l’église St-Michel
Le projet consiste à restaurer les peintures et mosaïques de l’édifice, à l’occasion des 110 ans de sa construction.
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Sainte-Marie des Batignolles (17e)

Restauration du chœur de l’église des Batignolles
Le projet consiste à rénover le chœur de l’église Sainte-Marie des Batignolles, qui célébrera ses 200 ans en 2028. Il est proposé de restaurer les peintures, la statue de la Vierge, le grand retable et les stalles en bois. Ce projet nécessite également un accompagnement de vérification des toitures et petits travaux.
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Saint-Ferdinand des Ternes (17e)

Rénovation des peintures de l’église St Ferdinand
Ce projet consiste à :
 rénover les fresques intérieures de l’église Saint-Ferdinand des Ternes
 expertiser les toitures terrasses et accompagner les travaux le cas échéant.
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Saint-Bernard de la Chapelle (18e)

Redonnons leur beauté aux peintures murales de l’église Saint-Bernard de la Chapelle
Située dans un ancien quartier ouvrier dont la population connut une croissance importante au cours de la seconde moitié du 19e siècle, l’église Saint-Bernard de la Chapelle fut édifiée entre 1858 et 1861 dans un style néogothique. Peu après son inauguration elle accueillit entre 1861 et 1874 un important décor peint, témoin du revival dont bénéficia la peinture murale sous le Second Empire et les débuts de la Troisième République. Ces réalisations, exécutées par des artistes bénéficiant alors d’une importante notoriété, sont toutes dans un état d’altération très avancé. L’encrassement des toiles est particulièrement fort, au point d’atténuer fortement la lecture des sujets, et d’importantes remontées salines affectent la planéité des surfaces picturales. Leur réhabilitation est urgente si le 18e arrondissement souhaite conserver une trace vivante de ce patrimoine. La restauration portera plus particulièrement sur les trois chapelles situées côté nord.
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Saint-Jean de Montmartre (18e)

Restaurer le décor dans l’église Saint-Jean de Montmartre
La salle paroissiale de l’église Saint-Jean de Montmartre est un lieu accueillant, tant pour les paroissiens, que pour les nombreuses associations sportives et artistiques du quartier qui y exercent leurs activités. Cette salle est un lieu de rassemblement cher aux habitants de l’arrondissement. Construite au tournant des XIXe et XXe siècles, l’édifice nécessite des travaux de restauration qui sont désormais engagés mais la salle paroissiale n’est pas prévue dans le programme. Plus précisément, le projet vise à restaurer : Les vitraux qui sont brisés sur de multiples endroits et la grande peinture murale, réalisée par Paul Sieffert et Henri Rousseau en 1898, qui est assombrie, sale et abimée. Elle représente, dans un vaste paysage, saint Pierre Fourier enseignant à des enfants. Sa devise était « Ne nuire à personne, être utile à tous », ce qui est bien en accord avec la fonction de ce lieu original par son architecture et son décor.
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Saint-Denys de la Chapelle (18e)

Révélons le patrimoine de notre arrondissement
Ce projet est un regroupement de propositions d’habitants et d’un collectif de riverain. Il a pour objectif de permettre au 18ème de révéler son patrimoine, à valoriser les murs aveugles et à mettre en lumière les monuments du quartier de la Chapelle Marx Dormoy, plus précisément :
 mettre en scène les pignons aveugles des voies ferrées par du street art inspiré des contes populaires.
 mettre en valeur les monuments historiques par la mise en lumière du marché de l’Olive et la restauration de la basilique [Sainte-Jeanne d’Arc qui jouxte l’église] Saint-Denys de la Chapelle.
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Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville (19e)

Plus d’art et de couleurs dans le 19e
Ce projet a pour but de favoriser la préservation de plusieurs sites patrimoniaux qui font la diversité et la richesse de notre territoire, au bénéfice des Parisiennes et des Parisiens. Il consiste à restaurer les peintures murales des chapelles Saint-Vincent-de-Paul, Sainte-Geneviève et Saint Denys de l’Église Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville. Il porte également sur l’aménagement d’un espace d’exposition au sein des Magasins Généraux de Paris, situés quai de la Loire ainsi que l’embellissement d’un mur afin de l’égayer. Cet embellissement sera mis en œuvre par une fresque à mi-chemin entre street-art et œuvre végétale. Le projet rappelle l’entier attachement des habitants à l’entretien du patrimoine, à sa sauvegarde pour le faire perdurer.
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Source : https://decider.paris.fr/

 Lire l’article de Paris Notre-Dame en 2021 : Budget participatif : aux votes, paroissiens !.

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