Dans “Vivre le bien commun, quésaco ?”
L’échelle de Jacob
« Jésus, nous sauvant du péché, vient accomplir par sa résurrection, l’union de l’homme avec Dieu. La doctrine sociale de l’Église nous aide à approcher ce mystère. Les réalités terrestres son ternies par le péché qui nous éloigne de Dieu. Elle entend nous aider à restaurer le lien avec Lui. La connaissance de Dieu nous aide à mieux vivre dans le monde. Elle est la colonne vertébrale de la doctrine sociale de l’Eglise. Dieu a fait l’homme à son image et à sa ressemblance. L’homme est donc infiniment digne d’être aimé. Dieu fait de l’homme un co créateur en lui donnant le jardin pour le cultiver et le garder. La participation de l’homme au bien commun lui permet alors de vivre de cette dignité, et c’est à chacun d’exercer cette recherche du bien commun, avec ses capacités propres. Jésus est mort pour nous et nous montre le chemin vers la vraie solidarité : accepter de mourir à soi pour l’autre. »
Thomas Ailleret, Vivre en chrétien, quésaco ?, Éditions du Cerf, p. 232.