J’aime Jésus comme mon Dieu

« C’est précisément la certitude absolue que Jésus est l’unique sauveur du monde qui me pousse à repérer dans toutes les religions et les créatures que je rencontre, ces « Pierres d’attente » de sa venue, et qui m’incite à les respecter, à m’en émerveiller, à m’en inspirer, et pour cela, d’abord, à mieux les connaître. ». Chronique audio de Mgr Bruno Lefevre Pontalis.

J’aime Jésus comme mon Dieu
« C’est précisément la certitude absolue que Jésus est l’unique sauveur du monde qui me pousse à repérer dans toutes les religions et les créatures que je rencontre, ces « Pierres d’attente » de sa venue, et qui m’incite à les respecter, à m’en émerveiller, à m’en inspirer, et pour cela, d’abord, à mieux les connaître. ». Chronique audio de Mgr Bruno Lefevre Pontalis.

J’aime Jésus comme mon Dieu

On oppose facilement notre certitude absolue que Jésus est l’unique capable de sauver, de glorifier, d’ouvrir le ciel à tous, au dialogue entre les autres religions dans l’écoute et la bienveillance.
Comme s’il fallait choisir entre conviction et compréhension, entre amour du Christ et respect de l’autre, finalement entre foi et charité.
Mais en sens contraire, c’est précisément la certitude absolue que Jésus est l’unique sauveur du monde qui me pousse à repérer dans toutes les religions et les créatures que je rencontre, ces « Pierres d’attente » de sa venue, et qui m’incite à les respecter, à m’en émerveiller, à m’en inspirer, et pour cela, d’abord, à mieux les connaître. D’où une écoute profonde dans un dialogue franc et loyal.
Ainsi, en préparant nos missions d’évangélisation, et suivant les différents terrains où nous les vivront, apprenons à connaitre le bouddhisme, l’hindouisme, l’Islam, l’ésotérisme ou le New Age… non d’abord par stratégie mais par sympathie pour des enfants de Dieu donc des frères et sœurs, non seulement en humanité, mais en Dieu même.
Mais si je les aime, en vérité, je veux aussi que tout ce qu’ils vivent déjà de beau, grand, noble et vrai, arrive un jour à sa plénitude. Que tous aient la joie de s’en désaltérer à la source, d’en aimer l’Auteur.
Permettre à une valeur de s’accomplir, de devenir un principe, à un bourgeon de fleurir, ce n‘est pas en rire, mais au contraire leur donner de s’épanouir.
Jean-Paul II avait trouvé le ton absolument juste, en témoignant de Jésus devant 60 000 jeunes musulmans au stade de Rabat ou encore lors de la rencontre des chefs de religion à Assise, partageant en toute simplicité :
« Pour nous la paix porte un nom : Jésus ».
Puisse-t-il encore nous inspirer.

Année de la mission (2014-2015)

Chronique “Être témoin de l’Évangile” de Mgr Bruno Lefevre Pontalis