Quel drôle de titre ! qui marie la précision du temps et le flou de l’espace. Nous savons l’heure, mais pas le jour, ni l’année, ni le lieu où le film se passe. Le début du film ne nous éclaire pas davantage : nous sommes dans la rue, la ville est déserte, le jour se lève (les réverbères s’éteignent les uns après les autres), il y a un peu de neige. Critique de Bertilie Walckenaer.